jeudi 31 août 2017

La nouveauté du jour: U2 - "The blackout"

Extrait du futur album à paraître Songs Of Experience. Humble avis personnel: ça part très bien avec des sonorités à la Achtung Baby du meilleur effet, malheureusement le refrain et le pont viennent un peu gâcher le tout (le refrain sonne comme du récent Coldplay, et ce n'est pas un compliment).

A découvrir ici

mercredi 30 août 2017

La ressemblance du jour: Neil Young: "Captain Kennedy" / Jean-Jacques Goldman: "Le coureur"

Hasard ou (très forte) inspiration? Nul ne le sait, mais en tout cas la similitude de mélodie entre la méconnue "Captain Kennedy" de Neil Young et le tube "Le coureur" de JJG saute aux oreilles...


Paroles & musique: Neil Young.


Paroles & musique: Jean-Jacques Goldman.

mardi 29 août 2017

Les Beatles en train d'enregistrer "Hey Jude"

J'ignore totalement l'origine de ces images (film privé? ou en vue d'être diffusé?...) mais c'est assez extraordinaire, quand bien même l'image, le son et le montage (si on peut parler de montage...) sont rudimentaires, de voir le plus grand groupe de l'histoire en train d'enregistrer l'une des chansons les plus populaires de l'histoire. Intéressant aussi de voir combien ils étaient physiquement proches dans le studio. Bien sûr, il y avait des re-recordings par la suite, mais les Beatles ont toujours indiqué qu'ils retenaient toujours comme base de travail des prises "live" avant d'y incorporer des éléments supplémentaires. C'est court, c'est bordélique, mais c'est drôlement intéressant.


lundi 28 août 2017

La pépite du jour: Chris Rea - "The road to hell (parts 1 & 2)"

Attention à la découverte! Si tout le monde connaît le tube de Chris Rea datant de 1989, peu de gens ont fait attention que le single comportait la mention "The road to hell (part 2)". Cela signifie donc qu'il y a une première partie (non? si!), l'ensemble ouvrant l'album The Road To Hell. Et alors attention, la première partie vaut son pesant de cahouètes. On dirait Chris Rea faisant du Pink Floyd, c'est tout bonnement excellent (à partir de 2'35, frissons garantis). Et lorsque la bascule se fait sur la partie 2, c'est super bonnard aussi... Bonne écoute!


Paroles & musique: Chris Rea.
Production: Jon Kelly & Chris Rea.

dimanche 27 août 2017

La nouveauté du jour: Queens Of The Stone Age - "The evil has landed"

Nouvel extrait de Villains, avec ce morceau à tiroirs de plus de 6 minutes. La preuve que Josh Homme parvient à rester stoner tout en pondant des morceaux musicalement complexes, ce qui n'est pas donné à tout le monde!


samedi 26 août 2017

La nouveauté du jour: William Patrick Corgan - "Aeronaut"

Billy Corgan reprend son patronyme complet pour marquer la parution de son album solo Ogilala, qui paraîtra le 13 octobre prochain. Un premier extrait avec cet "Aeronaut", croisement pas désagréable entre du bon Elton John et du Suede.


A noter qu'une rumeur fait état d'une reformation du line-up original des Smashing Pumpkins pour 2018. A suivre...

vendredi 25 août 2017

The Who: nouveau DVD en vue

Le concert du Royal Albert Hall du printemps dernier au cours duquel l'intégralité de Tommy fut jouée sortira en DVD le 13 octobre prochain:


jeudi 24 août 2017

dimanche 20 août 2017

Toutes petites vacances du blog

Le blog fait dodo jusqu'à jeudi où, en revanche, il reprendra définitivement son rythme effréné ! A jeudi tout le monde !

samedi 19 août 2017

La pépite du jour: Jethro Tull - "Budapest"

Au détour d'une interview, Ian Anderson a indiqué que, s'il devait retenir une seule chanson qui définirait à elle seule le style de Jethro Tull, ce serait "Budapest". Et on ne peut pas trop ne pas être d'accord avec lui, tellement ce morceau brasse tous les styles abordés par Jethro Tull dans sa carrière: du rock, du folk, du quasi symphonique, du jazz...Le tout en un peu plus de dix minutes. Alors certes, les fans des Ramones et des Sex Pistols n'y trouveront peut-être pas leur compte...mais ne pas reconnaître que la mélodie principale est splendide serait d'une mauvaise foi révoltante! ;-)


Paroles & musique: Ian Anderson.

mercredi 16 août 2017

mardi 15 août 2017

Garbage: une nouvelle tournée anniversaire en 2018

Après avoir fait une tournée célébrant les 20 ans de leur premier album, le quatuor fera en 2018 une tournée célébrant les 20 ans de leur...deuxième album (et leur meilleur à mon humble avis), Version 2.0. C'est très bien pour les fans, par contre ils pourront se dispenser de faire ça pour les 20 ans de Beautiful Garbage, leur troisième album qui, à un ou deux morceaux près ("Cherry lips" et "So like a rose" notamment), était loin d'être une réussite...

lundi 14 août 2017

La nouveauté du jour: Liam Gallagher - "For what it's worth"

Comme promis, voici le retour du blog de Pif Floyd! Il y aura peut-être une autre petite éclipse dans le courant du mois d'août, mais pour l'instant je vous fais profiter de ce nouvel extrait du futur album de Liam Gallagher. Difficile de sonner plus Beatles que ça! Et accessoirement confirmation que les frangins Gallagher publieront leurs albums respectifs à un mois d'écart, soit début octobre pour Liam et début novembre pour Noel.


samedi 5 août 2017

Les vacances du blog

Une dizaine de jours de vacances en vue, donc pas de post d'ici là, sauf bien évidemment événement interstellaire style reformation des Beatles ou concert de Jimi Hendrix... D'ici là, portez-vous bien, et une petite vidéo montrant que, même en musique classique, on peut avoir des inconvénients du direct...

Bonnes vacances à tous!


vendredi 4 août 2017

La petite chronique du jour: Arcade Fire - Everything Now


C'est peu dire que la sortie du cinquième album des canadiens a fait parler d'elle. Après l'envol Funeral, les deux chefs d'oeuvre Neon Bible (le plus sombre) et The Suburbs (le plus varié) et le pas complètement convaincant Reflektor, qu'allait nous concocter la formation emmenée par le couple Win Butler / Régine Chassagne?

Un aperçu en avait été donné lors des premiers concerts estivaux, avec les morceaux "Everything now" et "Creature comfort", joués sur plusieurs dates. S'il est toujours difficile de se faire un avis tranché lorsqu'on découvre un morceau en live, on sentait quand même qu'on était plus proche de la pop electro-dansante de Reflektor que de la dépression en barres qu'était Neon Bible.

Bon nombre de critiques, après avoir écouté l'album, ont descendu ce dernier en flèche, affirmant que le groupe était définitivement compromis, que le syndrome U2/Coldplay/Muse (rayer la mention inutile) leur pendait au nez, bref que l'âme de la formation s'était définitivement évaporée.

Et là je dis: oui mais non.

Oui mais non, parce que beaucoup de choses apparaissant sur la version physique du disque sont importantes. Au verso de la pochette d'abord, les noms des titres sont précédés de la mention "starring:" et sont tous présentés sous la forme de logos. On est donc dans la dénonciation du commerce libéral à tout crin, ce qui est toujours hyper casse-gueule quand cela vient d'un groupe qui vend des disques par camions entiers.

Sauf que le livret vient enfoncer le clou de manière assez remarquable: il s'agit d'une feuille recto-verso se présentant comme un prospectus de l'enseigne "Everything now", et chaque chanson est associée à un produit marketing. Et là, on comprend que les Arcade Fire ont réalisé totalement consciemment un album hyper commercial, justement pour dénoncer l'uniformité ambiante en terme de sons qui plaisent et qui sont matraqués par les différentes radios. Et ça, qu'on aime ou pas, c'est quand même assez fort de pousser le vice jusque là, jusqu'à même aller recruter une moitié de Daft Punk (Thomas Bangalter) pour coproduire l'album.

Le pari d'Arcade Fire aurait été totalement gagné si les compositions du disque avaient été, non seulement commerciales, mais en plus excellentes (on peut faire un très bon album commercial, cf. Viva La Vida de Coldplay par exemple). Et c'est là où malheureusement le bât blesse: niveau compos, ça tire un peu la langue.

Pourtant, l'attaque avec le diptyque "Everything_now (continued)" / "Everything now" est loin d'être mauvaise. Le morceau est un tube en puissance, il n'y a qu'à voir comment le public réagit d'ores et déjà au quart de tour lors des concerts: même si on peut le qualifier de "facile" dans le sens où le gimmick sonne de façon extrêmement simple, "Everything now" est un vrai bon morceau fédérateur, qui plus est parfaitement produit. Les choses se gâtent dès "Signs of life": la production est toujours excellente, sauf que la mélodie est aux abonnés absents.

"Creature comfort" redresse la barre de fort belle manière. C'est fort, c'est puissant, c'est addictif, et malgré une fin qui s'étire un peu et des aigus de la miss Chassagne parfois limite (qui a dit comme d'habitude?), c'est pas mal du tout. "Peter Pan" et "Chemistry" sont en revanche anecdotiques: les mélodies sont sympatoches mais c'est cette fois la production qui gâche un peu tout, avec des relents reggae et/ou mariachis pas des plus heureux.

On arrive à la moitié de l'album, hop un petit diptyque, et c'est très bon: "Infinite content" (stoner) enchaînée à "Infinite_content" (country) passent très bien, et on regrette même que le groupe n'ait pas creusé davantage cette mélodie particulièrement accrocheuse.

Viennent alors les deux morceaux vraiment planplans de l'album: "Electric blue" d'abord, avec Chassagne en lead vocal. Poussif, très poussif, surtout si on fait la comparaison avec le dévastateur "Sprawl II", dont ce morceau semble être le demi-frère (demi seulement, ça manque quand même singulièrement de patate). "Good God dam" ensuite: venant de n'importe quel groupe, on trouverait ça pas trop mal, sauf que venant du groupe capable de claquer "Intervention", "Ocean of noise" et "My body is a cage" sur un même album, on attend autre chose qu'un machin neurasthénique qui tourne en roue libre.

On se dit que la fin de l'album va être une longue purge, sauf que là, le miracle: "Put your money on me". Du très très bon Arcade Fire, qui croise "Windowsill" et "Modern man". Les voix s'entremêlent, la mélodie, pas forcément compliquée, se fait enfin émouvante. Bref, là, on valide les yeux fermés. A un degré moindre, la ballade "We don't deserve love", qui vient clore l'album avant la reprise finale "Everything now (continued)" est aussi de très bonne facture, ce qui laisse d'autant plus un goût de frustration dans la bouche (et surtout dans les oreilles).

On a finalement le sentiment que, consciemment ou pas, le groupe s'est plus investi dans la forme que dans le fond de son album. Et c'est dommage car, par certaines fulgurances, on sent quand même que Arcade Fire en a encore sous la pédale et est toujours capable de pondre de très grandes choses. Allez, pour le prochain album, je préconise dix titres enregistrés dans les conditions du live sans aucun concept autour. Là, ça devrait être (très) bon.

jeudi 3 août 2017

La nouveauté du jour: Ringo Starr - "We're on the road again"

Nouvel album pour le meilleur batteur des Beatles du monde le 15 septembre prochain, avec plein d'invités dont un certain McCartney Paul, et un premier extrait dispo:


Et toutes les infos sur l'album ici.

mercredi 2 août 2017

La nouveauté du jour: Orchestral Manoeuvres In The Dark - "The punishment of luxury"

Plus connu sous le nom de OMD, le duo briton continue envers et contre tout de livrer des morceaux ma foi tout-à-fait honorables, toujours à forte dominante electro. "The punishment of luxury" est également le titre du futur album, à paraître le 1er septembre prochain.