Après sa tournée acoustique, Jean-Louis Aubert revient avec un - double - nouvel album prévu pour novembre, dont voici un premier extrait tout en douceur:
lundi 30 septembre 2019
dimanche 29 septembre 2019
Depeche Mode sur grand écran
Projection le 21 novembre un peu partout dans le monde de "Spirits in the forest", documentaire sur la dernière tournée de Depeche Mode, ou plus exactement sur le dernier concert (donné à Berlin) de leur dernière tournée, vu à travers le regard de certains fans. Ca rappelle un peu le concept de "101", et c'est le fidèle Anton Corbijn qui sera à la réalisation.
samedi 28 septembre 2019
La nouveauté du jour: Pink Floyd - "High hopes (early version)"
En prélude à la parution du coffret The Later Years, Pink Floyd nous gratifie de la "early version" de "High hopes". C'est extrêmement intéressant de voir comment la chanson a évolué pour aboutir à la version finale, alors que celle-ci était déjà bien travaillée. Construction et diction (voire paroles et harmonies vocales) différentes, production mettant très en avant les guitares acoustiques et très en retrait la batterie, et puis bien évidemment un solo final radicalement différent, puisque joué à la guitare électrique et non à la lap steel.
Bref, la confirmation qu'arranger une chanson, c'est un sacré boulot, et que ça ne doit pas être facile de se dire à un moment donné "celle-là, c'est la bonne".
vendredi 27 septembre 2019
La nouveauté du jour: Leonard Cohen - "The goal"
Au moment de sa mort, qu'il avait déjà anticipée dans le dernier album sorti de son vivant (You Want It Darker), Leonard Cohen travaillait encore sur de nouvelles compositions. Son fils Adam les a finalisées et c'est donc le 22 novembre que sortira Thanks For The Dance, l'album posthume de Leonard Cohen. Un premier extrait, sorte de poème chanté, "The goal", a été mis en ligne, et en 73 secondes, ça sèche grave.
jeudi 26 septembre 2019
Queen & Adam Lambert: tournée européenne en 2020
Elle aura lieu au printemps et la France fera l'objet d'une date, soit le 26 mai à l'AccorHotels Arena. Les places ont été mises en vente hier, et leurs tarifs s'échelonnent de 68 à...200€ (gloups).
Trailer visible ici.
mercredi 25 septembre 2019
La pépite du jour: The Rolling Stones - "Congratulations"
Morceau peu connu des pierres qui roulent, qui date de 1964, et qu'on jurerait échappé du répertoire des Everly Brothers, alors que, si si si, il est bien signé Jagger / Richards.
mardi 24 septembre 2019
Nick Cave & The Bad Seeds: nouvel album en vue
Il sortira le 5 octobre (la semaine prochaine donc) et sera double: huit titres sur le premier disque, deux longs sur le second reliés entre eux par un monologue, et ça s'appellera Ghosteen.
lundi 23 septembre 2019
La petite chronique du jour: Lana Del Rey - Norman Fucking Rockwell!
Il y a des disques qui vous cueillent alors que, sur le papier, rien ne semble prédestiner un tel coup de coeur. Pour moi, Lana Del Rey c'était avant tout un single fabuleux en 2012, l'extraordinaire de spleen "Video games", puis une chanteuse plus célèbre pour ses concerts plus ou moins foirés et son image marketée que pour ses productions musicales.
Et puis voilà que ce Norman Fucking Rockwell! débarque en cette rentrée 2019. Et le hasard a fait que ce disque servait de musique de fond lors d'une de mes déambulations dans un magasin. Et je me suis fait totalement avoir, par l'ambiance qui se dégageait de ces titres, par cette production pas du tout dans l'air du temps et par cette voix de femme qui se demande non pas si, mais quand est-ce qu'elle va se flinguer.
Et au bout du compte, après plusieurs écoutes, on sait qu'on tient là un grand disque. L'ouverture ("Norman fucking Rockwell") pose gentiment les bases. Piano / voix essentiellement, un peu de cordes derrière, c'est sûr qu'on ne va pas enflammer le dancefloor ce soir. Mais dès le deuxième titre, le happant "Mariners apartment complex", on bascule dans autre chose. Le duo Lana Del Rey / Jack Antonoff, qui a écrit et produit la quasi totalité de l'album, fait des merveilles. Sur un canevas mélodique finalement assez simple, les quatre mains posent une production renversant dans laquelle tout s'imbrique parfaitement, notamment ces cordes extraordinaires et cette guitare électrique un peu cradingue qui s'auto-répond. Et puis ces paroles bon sang! "I fucked up, I know, but Jesus / Can't a girl just do the best she can?"... Ca rigole moyen.
Sur le titre suivant, Lana Del Rey propose un titre de près de dix minutes, "Venice bitch", tout en nuances, et qui lorgne presque du côté de chez Air. Les deux titres suivants, "Fuck it, I love you" et "Doin' time" (qui est donc une reprise d'un titre du groupe Sublime), sont peut-être les plus faibles, en tout cas les plus évidents commercialement parlant, de l'album.
Parce qu'après, il n'y a plus rien à jeter, c'est un sans-faute sur 9 (longs) titres d'affilée. Alors oui, on peut les trouver répétitifs en terme d'ambiance dégagée, mais c'est faire la fine bouche en regard de la qualité de ce qui est proposé ici. Dès "Love song", on sent que l'album est remis sur d'excellents rails. Sonnant comme du Cardigans sous Lexomil, et encore une fois porté par une production splendide, ce morceau annihile toute résistance. Tout le reste est somptueux: "Cinnamon girl" et cette partie instrumentale renversante à 3'30, "How to disappear" qui sonne comme un tube pour dépressifs, la troublante "Bartender" et cette diction à faire fondre n'importe quel esquimau normalement constitué ("Bar-t-t-t-tender"), "Happiness is a butterfly" et son refrain imparable... La palme revenant à l'effarant "The next best american record", sur lequel Lana Del Rey dit que son chéri et elle étaient "trop occupés à écrire le prochain meilleur disque américain" pour s'occuper d'eux-mêmes, le tout sur une mélodie et des arrangements à se relever la nuit.
Alors oui, peut-être que certains titres présentent des similitudes les uns avec les autres. Peut-être que l'album est trop long (68 minutes). Mais qu'il se vende et s'écoute à des millions d'unités en ces temps où qualité et quantité ne vont pas forcément de pair est quand même assez rassurant.
dimanche 22 septembre 2019
La nouveauté du jour: Ride - "Clouds of Saint Marie"
Après sa résurrection en 2017, le quatuor anglais revient avec un nouvel album, This Is Not A Safe Place, qui se révèle être une bonne surprise, avec un bon nombre de morceaux qui tiennent la route. Exemple avec ce lumineux "Clouds of Saint Marie".
samedi 21 septembre 2019
La nouveauté du jour: Liam Gallagher - "Now that I've found you (MTV unplugged)"
Le deuxième album de Liam Gallagher est sorti hier, et pour marquer le coup, le mancunien a mis en ligne un extrait de son MTV unplugged de cet été, extrait ma foi fort sympathique. Et je vous conseille son interview parue dans le Rock'n'folk du mois d'octobre, c'est du très grand Liam !
vendredi 20 septembre 2019
La nouveauté du jour: The Beatles - "Something (take 39 - instrumental - strings only)"
A l'occasion de la réédition de Abbey Road qui paraît à la fin de ce mois afin de fêter le 50ème anniversaire de cet album mythique, des bonus inédits seront proposés, dont cette version de "Something" uniquement composée des cordes arrangées par George Martin.
Et...ben c'est tellement beau que ça se passe de commentaires.
jeudi 19 septembre 2019
Arcade Fire: les 15 ans de "Funeral"
Hé oui, 15 ans déjà que Funeral, premier album totalement ovniesque d'Arcade Fire, est sorti. Pour fêter cela, le groupe a mis en ligne une version remasterisée du clip de "Rebellion (Lies)". Pas forcément révolutionnaire, mais ça permet de réécouter ce morceau qui est quand même un chef d'oeuvre intouchable...
mercredi 18 septembre 2019
Status Quo: trois dates en France
Malgré le décès de Rick Parfitt, les Anglais continuent de jouer leur boogie-rock et viennent même de publier un nouvel album, Backbone. L'occasion pour eux de venir pour 3 dates en France en 2020, soit le 6 novembre à Strasbourg (La Laiterie), le 8 novembre à Paris (Olympia) et le 9 novembre à Lyon (Transbordeur). Pré-vente dès ce matin 10h, ventes publiques demain à partir de 10h.
mardi 17 septembre 2019
Ric Ocasek 1944 - 2019
On a appris hier la disparition de Ric Ocasek, qui fut le leader (guitariste et co-chanteur) de The Cars, avant de devenir un producteur réputé, travaillant notamment avec Weezer et Nada Surf. Un peu dans la même veine que Blondie à la même époque, il sut allier l'énergie du punk naissant avec un sens inné de la mélodie.
A titre tout personnel, je dois avouer un gros faible pour "Just what I needed", extraite du premier album des Cars (celui à la pochette mythique), chantée par le bassiste Benjamin Orr, et qui est un vrai travail d'orfèvre en matière de pop.
lundi 16 septembre 2019
La nouveauté du jour: The Who - "Ball and chain"
Nouveau morceau des Who, en prélude à l'album WHO qui paraîtra le 22 novembre. Alors je vais peut-être me mettre en mode schtroumpf grognon, mais je ne le trouve pas terrible du tout ce morceau... Ca tourne en rond, il y a de l'auto-citation dans les arrangements, les paroles sont hyper lourdingues... En espérant que tout l'album ne soit pas du même tonneau!
Accessoirement, le groupe a annoncé une mini-tournée anglo-irlandaise de 10 dates en mars-avril 2020... Pourquoi pas l'Europe l'été suivant? A suivre...
dimanche 15 septembre 2019
La nouveauté du jour: Neil Young & Crazy Horse - "Rainbow of colors"
Nouvel extrait du Colorado à venir. Je pense que les voix ont été enregistrées en une seule prise...mais c'est comme ça qu'on aime Neil Young et ses copains!
samedi 14 septembre 2019
La nouveauté du jour: Noel Gallagher's High Flying Birds - "A dream is all I need to get by"
Qui a dit "aussitôt écouté, aussitôt oublié"? Je me répète, je trouve ça plutôt salutaire qu'il tente des choses nouvelles. Mais encore faudrait-il qu'il y ait de vraies chansons derrière...
vendredi 13 septembre 2019
Eels, Lyon, Le Radiant, 10 septembre 2019
21 ans (#faitpasbonvieillir) après les avoir vus au Transbordeur, me revoilà donc en ce mardi soir à Lyon (ou Caluire plus exactement) pour aller applaudir Mark Oliver Everett, alias E, et ses acolytes. Bonne surprise, la salle est pleine comme un oeuf à 20h50, au moment où le désormais quatuor investit la scène (oui, nous avons raté la première partie, désolés à eux).
E est désormais accompagné d'un simple power trio guitare-basse-batterie, et les quatre gars arrivent sur scène sur la musique de...Rocky. Nous voilà rassurés: E n'a pas perdu son sens de l'humour! Et il n'a pas perdu non plus son sens du contre-pied, puisque je connais assez peu de groupes qui osent attaquer leur set par...trois reprises. Et attention, pas de la reprise grosse artillerie style "Let it be" ou "Satisfaction", non non. On a d'abord droit à une version du "Out in the street" des Who très proche de l'originale (ah, ce trémolo de guitare en intro...), puis à "Mississipi delta" (Bobby Gentry) et enfin "Raspberry beret" (Prince). Pas du ultra connu donc. Et alors attention, ils ne sont peut-être que quatre, mais alors ça défouraille pas qu'un peu. C'est rock, très rock, voire même un peu trop niveau volume sonore (basse trop en avant, dès le deuxième morceau les boules quies ont été de sortie pour moi).
De temps en temps entre les morceaux, E s'amuse avec...une corne de brume, histoire de chauffer le public lyonnais qui, comme d'habitude, a un mal fou à entrer dans un concert. Trois morceaux bien rock ensuite, dont l'excellent "Flyswatter", drôle et hyper pêchu. A côté la version originale faisait très petit bras...
E nous dit ensuite qu'il va faire du soft rock, et il attaque "I need some sleep" à la guitare. Et là, d'un coup, on se souvient de pourquoi on adore ce gars. Certes, ses morceaux rock sont très bons, bien enlevés, hargneux... Mais ses ballades... Bon sang, aucun coeur normalement constitué ne peut résister à cette vague de spleen qu'il est capable de déclencher juste avec une guitare et sa voix.
Même si la voix déraille parfois dans les aigus, E n'en est que plus touchant, et ça s'intègre parfaitement dans les morceaux. En plus l'orchestration est splendide (le son de la deuxième guitare, ouh ouh ouh). "Dirty girl" derrière est splendide, avant le passage obligé de "That look you gave that guy". Même après des dizaines d'écoutes, même après avoir illustré plein d'épisodes de "L'amour est dans le pré", ben ça reste une merveille cette chanson.
Après cette accalmie, le concert va vite repartir comme en 14, ça joue (très bien) pied au plancher. On notera une version survitaminée de "My beloved monster" (popularisée par "Shrek").
E présentera également le groupe en commençant par...lui, puis en laissant le nouveau batteur, "Little Joe", chanter un morceau! Plein d'autres idées de mises en scène complètement décalées, avec un roadie mettant de la fausse fumée au gratteux en plein solo de djembé, un autre déroulant un faux tapis rouge pour simuler un défilé de mode, et un troisième (en gilet jaune!) passant l'aspirateur sur le tapis en question... Ca change des concerts sans originalité, et surtout ça prouve qu'on peut imaginer des mises en scène originales sans pour autant se ruiner en pyrotechnie ou autres.
Le final avant le rappel est dantesque, avec d'abord un "Novocaine for the soul" une nouvelle fois complètement revisité.
Derrière, on ne baisse pas la garde avec "Souljacker (part 1)" et son riff démoniaque, puis un "I like birds" très éloigné de la quasi berceuse originale, là c'était une version en mode "remplacement de coton tige". Toutefois, avant le rappel, on revient à des choses apaisées avec l'une de mes chansons préférées du groupe, la mélancolique à souhait "PS you rock my world".
E nous dit que non non non, ils ne peuvent pas jouer plus longtemps, mais on n'y croit évidemment pas une seconde (surtout que le public lyonnais bouge enfin), donc ce sera "Fresh feeling" en premier rappel. Ils repartent, ils reviennent avec la toujours punchy "Mr E's beautiful blues", puis "Fresh blood", avant de conclure sur un medley mêlant deux des plus belles compositions de E ("Blinking lights (for me)" et "Wonderful, glorious") au sublime '"Love and mercy" de Brian Wilson et au "The end" des Beatles. Voilà, rien que ça (pas filmé mardi soir, mais ça vous donne une idée de la chose).
C'est donc après 1h45 d'un concert qui redonne la banane que les lumières se rallument, et que les enceintes diffusent une version de "Blinking lights (for me)" chantée par une chorale bouleversante (avis à la population: je n'en ai trouvé aucune trace sur le net, si quelqu'un veut bien m'aider je suis preneur). Alors oui, bon, j'aurais préféré un peu plus de ballades déchirantes, mais franchement c'est très personnel comme ressenti. Parce que c'était avant tout un super moment de musique, voire plus globalement un super spectacle, qui fait oublier le temps d'une soirée les soucis du quotidien. Alors merci E et ses amis!
Setlist:
Out in the street
Mississipi delta
Raspberry beret
Bone dry
Flyswatter
Dog faced boy
I need some sleep
Dirty girl
That look you give that guy
Prizefighter
She said yeah
Tremendous dynamite
Open my present
You are the shining light
My beloved monster
In the yard, behind the church
I like the way this is going
Little Joe!
Today is the day
Novocaine for the soul
Souljacker (part 1)
I like birds
PS you rock my world
Rappel 1
Fresh feeling
Rappel 2
Mr E's beautiful blues
Fresh blood
Love and mercy / Blinking lights (for me) / Wonderful, glorious / The end
jeudi 12 septembre 2019
Green Day: nouveau single, nouvel album, nouvelle tournée
Actualité chargée pour le trio américain, qui a tout d'abord dévoilé un nouveau single, "Father of all...", avec une production très calibrée FM sur les couplets...
L'album du même nom sortira le 7 février 2020.
Et il a également été annoncée la création d'une tournée commune (en tout cas sur plusieurs dates) avec Weezer et Fall Out Boys, ces trois groupes tournant sous le vocable "Hella Mega Tour". Et ils seront à Paris à la U-Arena le 13 juin prochain, mise en vente des places le 20 septembre. Le trailer de la tournée est visible ci-dessous:
mercredi 11 septembre 2019
Freddie Mercury: coffret en vue
Parution le mois prochain d'un coffret intitulé Never Boring, dont le but est de regrouper l'intégralité de la carrière solo de Freddie Mercury. 5 galettes en tout, soit les deux albums Mr Bad Guy et Barcelona, un album regroupant des versions single / alternatives et des morceaux du grenier, et enfin un blu-ray et un DVD compilant clips et prestations live.
Plus de détails ici et le nouveau clip du morceau "Love me like there's no tomorrow" est déjà visible ci-dessous:
mardi 10 septembre 2019
Supergrass: ça se confirme
Comme indiqué ici-même il y a quelques jours, Supergrass se reformera donc en 2020 pour une mini-tournée dont la première date sera la seule date française, à savoir le 4 février 2020 au Casino de Paris (mise en vente le 13 septembre). En prime, début 2020, parution d'un coffret, The Strange Ones 1994-2008, retraçant comme son nom l'indique toute la discographie du groupe, avec plein de trucs jolis dedans. Et comme rien ne se perd, un best of du même nom sortira également le 24 janvier prochain.
Toutes les infos sur le site officiel ici.
lundi 9 septembre 2019
La nouveauté du jour: Kele Okereke - "Jungle bunny"
Le leader de Bloc Party revient le 1er novembre avec un album solo, 2042, dont le premier extrait est assez éloigné des livraisons de son groupe, et laisse un peu dubitatif...
dimanche 8 septembre 2019
Supergrass: le retour en 2020
Ils s'étaient séparés à l'amiable en 2010, les revoilà reformés pour la bonne cause, à savoir fêter les 25 ans de leur premier album, l'excellent I Should Coco. Une tournée aura donc lieu en 2020, le groupe commence à faire monter la pression par des petits teasers (dont l'un visible dans cet article), affaire à suivre donc!
samedi 7 septembre 2019
La nouveauté du jour: Lana Del Rey - "Doin' time"
La chanteuse américaine vient de publier son nouvel album, Norman Fucking Rockwell, qui est encensé par la critique. En voici un premier extrait langoureux (avec un petit clin d'oeil au classique "Summertime" en passant):
vendredi 6 septembre 2019
La nouveauté du jour: Ezra Furman - "Transition from nowhere to nowhere"
Disque du mois dans le dernier numéro de Rock'n'Folk, le nouvel album du dénommé Ezra Furman, Twelve Nudes, est effectivement excellent. Comme si Suede et Grant Lee Buffalo avaient fusionné le temps d'un disque. Très belles compositions, un songwriter habité, vraiment une belle découverte, que je m'empresse de vous faire partager ci-dessous.
jeudi 5 septembre 2019
R.E.M. fête les 25 ans de "Monster"
Comme ils l'avaient fait pour Automatic For The People, le groupe ressort Monster pour les 25 ans de ce dernier dans une version deluxe fort intéressante, contenant 5 CD et un blu-ray. Sur les CD, l'album remasterisé, un concert de la tournée 95 dans son intégralité, les demos de l'époque et l'album remixé par Scott Litt en privilégiant la voix et la basse plutôt que la guitare électrique. "What's the frequency Kenneth?" est déjà audible dans cette version, et ça fait un peu bizarre, non seulement de mieux comprendre les paroles de Stipe, mais surtout d'avoir certains effets de guitare électrique carrément gommés...
Toutes les infos sur cette réédition ici.
mercredi 4 septembre 2019
Pink Floyd: "The later years", encore des news
Cette fois on sait exactement ce qu'il y aura dans le coffret en question... Pour ceux qui ont du temps devant eux, vous pouvez cliquer ici.
Pour le trailer de mise en bouche, c'est ci-dessous:
Et pour un premier extrait vidéo, en l'occurrence la version de "Wish you were here" à Knebworth, c'est également ci-dessous:
mardi 3 septembre 2019
La nouveauté du jour: Pixies - "Catfish Kate"
Deuxième extrait de l'album des Pixies à venir le 13 septembre, et c'est, je trouve, un morceau de très bonne facture:
lundi 2 septembre 2019
La nouveauté du jour: Stereophonics - "Fly like an eagle"
Hé oui, ils sont toujours là, leur nouvel album va paraître le 25 octobre prochain, et ce premier single surprend agréablement par un côté dépouillé et sobre assez inhabituel chez les Stereophonics.
dimanche 1 septembre 2019
Les nouveautés du jour: Alain Souchon - "Âme fifties" + "Presque"
Deux premiers extraits du prochain album d'Alain Souchon, Âme Fifties, qui sortira le 18 octobre. Avis tout personnel: j'aime beaucoup le titre "Âme fifties", vraiment du très bon Souchon, en revanche "Presque" sonne assez gentillet à côté.
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