jeudi 31 mai 2018

Personne ne bouge sur Simon & Garfunkel

A ne rater sous aucun prétexte demain à 22h50 sur Arte, le numéro du magazine "Personne ne bouge!" consacré à Simon and Garfunkel. La bande-annonce est d'ores et déjà visible ici.

mercredi 30 mai 2018

Rick Davies et Roger Hodsgon: des nouvelles

Hé oui, l'actualité supertrampienne renaît de ses cendres!

Pour Rick Davies, les nouvelles sont bonnes, puisque ce dernier, après être resté très discret suite à l'annonce de son cancer qui avait entraîné l'annulation de la tournée de Supertramp (le "Forever tour") il y a trois ans, remontera sur scène fin août. Il donnera ainsi deux concerts en solo dans un club de New York tout près de chez lui. Il est bien sûr largement prématuré d'envisager un retour de Supertramp à la suite de cette annonce, mais ça fait quand même plaisir d'apprendre que Davies a retrouvé suffisamment d'énergie pour annoncer ces deux concerts.

Pour Roger Hodgson, il s'agit là aussi de concerts, mais parisiens ceux-ci. Ce sera, comme toujours ou presque, à l'Olympia les 1er et 2 juin 2019. A voir pour ceux qui ne l'ont pas encore vu (et pour ceux qui ont les moyens, les tarifs pratiqués par Hodgson étant en général assez élevés...), par contre, pour ceux qui l'ont déjà vu, il a quand même un problème de renouvellement le gars Roger. Ce n'est pas lui faire injure que de remarquer que, depuis 12 ans qu'il sillonne la planète, en duo avec son multi-instrumentiste ou avec un groupe au complet, il ressert toujours les mêmes set-list, à quelques exceptions près. Pourquoi ne pioche-t-il pas davantage dans son dernier album solo (qui remonte quasiment à 20 ans maintenant), le très bon Open The Door? Pourquoi aussi ne pas relooker certains titres de son album Hai Hai, qui souffraient surtout d'une production estampillée d'époque? Mystère, mystère...

Pour info, comparez la set-list de l'olympia 2009 avec celle de l'olympia 2016, 15 titres communs sur 22... Après, soyons clairs: ça reste de la très bonne zik parfaitement exécutée et on passe un excellent moment, mais il y a quand même une sensation de redite parfois!

mardi 29 mai 2018

Ne me demandez pas pourquoi...

L'article que je viens de poster est placé après celui d'hier... Parfois internet hein.. .

lundi 28 mai 2018

La nouveauté du jour: Arctic Monkeys - "Four out of five"

Finies les grosses guitares et les hymnes pour stades de AM, la bande à Alex Turner propose un nouvel album, Tranquility Base Hotel & Casino, plus porté sur les ambiances que sur les refrains immédiats à brailler en coeur. C'est assez déroutant à la première écoute, il faut insister pour bien rentrer dans le truc. Voici donc le premier single à en être extrait, qui est découpé en deux parties bien distinctes:


Paroles & musique: Alex Turner.
Production: James Ford & Alex Turner.

dimanche 27 mai 2018

Roger Waters, Lyon, Halle Tony Garnier, 9 mai 2018

C'était la troisième fois que j'allais voir Roger Waters en concert, après les prestations données à Magny-Cours en 2006 puis à Bercy dans le cadre de la tournée "The Wall" en 2011. Après les magnifiques concerts de Gilmour à Orange en 2015 puis aux salines d'Arc-et-Senans en 2016, j'avais un peu peur d'être déçu par Waters, surtout que son dernier album en date, Is This The Life We Really Want?, ne m'avait pas franchement emballé. Mais bon, un concert floydien à quelques encablures du domicile, ça ne se refuse jamais, donc allons-y gaiement.

Il était bien spécifié sur le billet "début du concert à 20 précises". Et effectivement à 20h précises, l'écran se situant derrière la scène s'illumine d'un coup - mais les lumières de la salle restent éclairées - et les images d'une femme assise sur une plage, dos à la mer, apparaissent. Et ça va durer 20 minutes comme ça. Autant dire qu'on avait l'impression d'avoir allumé Arte un jour de grève. Niveau son, d'abord uniquement la mer et des mouettes (mais qui permettent de découvrir qu'on va avoir droit à un son en quadriphonie), puis une mélopée orientale, pas désagréable mais pas vraiment dans le ton de la soirée.

Au bout de vingt minutes, le ciel s'obscurcit, un coeur et le battement qui va avec apparaît à l'écran, les lumières s'éteignent et "Breathe" démarre. Version propre, son nickel pour la Halle, tout le monde se pose, tout va bien. "One of these days" démarre derrière. Et là, souci. Malgré un son de basse formidable, Waters propose une relecture inutilement hyper agressive de ce morceau. Pourquoi avoir mis des images glauques en arrière-plan, type torture suggérée, alors même que la chanson en elle-même charrie une tension énorme? Pourquoi, sur le pont, proposer une surimpression dégueulasse de Waters en direct avec des images n'ayant rien à voir avec le shmilblick? C'est assez éprouvant et surtout pas très agréable comme sensation. Ces deux premiers morceaux sont visibles ci-dessous:


"Time / Breathe (reprise)" derrière, du grand classique, bien interprété mais de façon presque trop professionnelle par le backing band de service.



Même chose pour "The great gig in the sky", sur lequel les deux choristes qui portent des perruques blondes peroxydées et oeuvrent sous le pseudonyme des Lucius, proposent un truc techniquement parfait mais assez braillard et éloigné de la performance initiale de Clare Torry.

Premier morceau vraiment intéressant ensuite selon moi: "Welcome to the machine", dont je ne suis pourtant pas grand fan à la base. Mais là, avec le clip d'origine, et le final sur lequel le dessin animé montre des milliers de mains se dressant dans une mer de sang, et en parallèle les projecteurs éclairant la foule avec des lumières rouges identiques, là ça le fait (un extrait entre 8'05 et 10'30 ici).

Manque de pot, après ce premier grand moment, Waters nous impose trois titres de son album solo, soient "Déjà vu", "The last refugee" et "Picture that". J'ai beau essayé, je n'y arrive pas, il y a tellement d'auto-citations dans ces morceaux, musicalement parlant, que ça fait vraiment hyper râbaché comme truc. Et toujours des images de réfugiés, de guerres, des surimpressions jaune/orange immondes sur "Picture that" (le moins mauvais des trois morceaux), bref une vraie purge. Je ne pensais jamais dire ça au cours d'un concert floydien, et pourtant...

Sentant que le public a besoin d'être réveillé, Waters dégaine "Wish you were here". Sa voix passe quand même bizarrement sur ce morceau, et ces couleurs de vidéos bon sang... C'est moche, c'est moche, c'est moche, y'a pas d'autre mot.


Quand j'entends les premiers bruits d'hélicoptère (en quadriphonie, miam), je me dis qu'on va avoir droit au passage "thewallesque" du concert. Bingo, et à ma très grande surprise, ça a été un super moment. Pourtant, l'enchaînement "The happiest days of our lives" / "Another brick in the wall (Part 2)", on l'a entendu et réentendu. Mais là, en proposant une version tendue, sans solos à rallonge, et surtout en couplant ces deux morceaux à "Another brick in the wall (Part 3)", Waters réussit son coup. Vrai bon moment où la sauce prend pour de bon, même si j'ai un gros doute sur le fait que Waters ait chanté en direct la dernière partie du morceau.


Après ça, entracte. Pendant ce dernier, des messages défilent sur l'écran: "RESIST", des slogans anti-guerre, anti-consuméristes... Un peu surréaliste de voir ça pendant que les conversations autour de nous consistent en "y'a un de ces mondes aux toilettes!" "les t-shirts sont chouettes mais ils sont pas donnés" "demandez le programme! 20 € le programme!". Bizarre, bizarre...

Démarrage de la seconde partie, une sirène se fait entendre, l'espèce de barre qui soutenait les projecteurs au centre de la salle descend, et en surgit une magnifique Battersea Station. Alors là bravo, chouette effet visuel, même si ça peut un peu gêner la vision des spectateurs se trouvant pile dans l'axe.

Qui dit Battersea Station dit Animals, et voici Jon Carin (toujours aussi brillant multi-instrumentiste) qui attaque l'intro à la 12 cordes. Jonathan Wilson se colle aux parties vocales de Gilmour, et ça lui va très bien. Tout va comme sur des roulettes jusqu'au pont. Et là, gros malaise me concernant. Déjà, musicalement, j'ai trouvé ce pont très long, très monotone, sans réel intérêt. Là, pour dynamiser le truc, Waters et ses musiciens enfilent des masques de cochons et de chiens, et font semblant de boire du champagne à foison. Puis Waters brandit deux pancartes, sur lesquelles sont inscrits "Pigs rule the world", puis "No! Resist the pigs".

Bon, alors là oui mais non. Parce que Waters faisant la critique du capitalisme de cette manière là alors que son compte en banque doit compter plusieurs zéros, qu'il faut débourser 80 € en moyenne pour aller le voir, et qu'il fait partie, qu'il le veuille ou non, des "Pigs" en question, franchement ça ne le fait pas du tout. On a un peu envie de lui dire que tout cela n'est pas très cohérent. Dommage car le morceau était bien réussi, malgré une nouvelle fois des choix de couleurs curieux au niveau des écrans vidéos.


"GROUIK GROUIK": ah ben tiens voilà "Pigs (Three different ones)"! Musicalement, c'est peut-être le passage du concert que j'ai préféré, entre l'intro à la basse si reconnaissable et surtout un final électrique furieux, sur lequel les gratteux Kilminster et Wilson s'en sont donnés à coeur joie. Visuellement, bien évidemment qu'Algie (ou son descendant, enfin bref un gros cochon gonflable) est venu survoler la fosse. Par contre, pour le reste, voilà que cette chanson, qui était à l'origine une charge contre "trois cochons différents", devient, grâce aux vidéos projetées, une charge uniquement dirigée contre Donald Trump. Alors en soi, pourquoi pas hein, sauf qu'à force de projection de vidéos saccadées, toujours dans des coloris qui ne pouvaient ravir que des daltoniens, et un final au cours duquel les "meilleures" citations de Trump étaient montrées partout, ben ça devenait épuisant, et surtout l'attention était plus attirée par ce qu'on voyait que par ce qu'on entendait. Et je le répète, c'était vraiment dommage car musicalement, ça envoyait du pâté.


"Money"suit derrière. Est-ce que c'est parce que je l'ai trop entendue en live, interprétée par tout plein de monde (Pink Floyd, Gilmour, Waters, Australian Pink Floyd, Brit Floyd...), toujours est-il que je l'ai trouvée un peu en mode pilotage automatique. Plein de projections derrière avec plein de grands de ce monde, notamment beaucoup d'images de...de...mais oui de Trump, vous avez gagné. Bon, mon petit Roger, on a compris que tu ne l'aimais pas ce bonhomme, on peut éventuellement passer à autre chose non?


Même enchaînement que sur The Dark Side Of The Moon, avec "Us and them". Belle version, avec le batteur Joey Waronker, jusque là assez discret (beaucoup plus dans l'esprit Nick Mason que ne pouvait l'être Graham Broad, batteur habituel de Waters depuis des décennies), qui se lâche sur les refrains. Très jolies voix aussi de tout le monde sur les refrains en question, non vraiment rien à redire, chouette moment.

Waters se dit que c'est le moment de jouer un morceau de son dernier album: ce sera "Smell the roses", et bon ben, même constat que pour les précédents hein... Sorte de vague remix de "Have a cigar", vidéos inutilement anxiogènes derrière... Je passe.


C'est alors que les arpèges de "Brain damage" retentissent, morceau qui sera évidemment suivi de "Eclipse". Et alors là, je dis oui oui oui (copyright Julien Lepers). Parce que déjà l'interprétation est excellente, et surtout, au moment où "Eclipse" démarre, des lasers se mettent en route et reproduisent, en taille XXL, la fameuse pochette de Dark Side Of The Moon. Alors là, chapeau. C'est sublime, et on est (enfin?) transporté dans une dimension floydienne. Pas besoin d'images de guerre, de Trump, de réfugiés, toussa toussa. C'est juste splendide, et on en prend plein les mirettes et les oreilles.


Et c'est alors que survient le drame. Waters nous présente ses musiciens, jusque là tout va bien. Et après il se lance dans un discours de cinq bonnes minutes montre en main, qui a donné à peu près ceci (je vous le fais en français): "je suis content d'être en France mais vous savez... je soutiens la cause des Palestiniens, je soutiens le mouvement BDS, alors je vais peut-être être envoyé en prison! (mime un gars menotté). On doit normalement faire un concert à Paris, mais je ne sais pas si on va le faire, on verra (en français dans le texte). Ca va dépendre de ce que M.Macron va décider pour les Palestiniens, mais souvenez-vous de 1789!"...

Et donc ça cinq bonnes minutes montre en main.

Alors là, mon petit Roger, ça ne va plus du tout.

Que Waters soutienne la cause palestinienne, aucun problème, il choisit les causes qu'il veut, no soucaïe. Qu'il fasse partie du mouvement Boycott Désinvestissement Sanction (pour plus d'infos sur ce mouvement, voyez ici), ça le regarde aussi, il fait ce qu'il veut. Mais qu'il en vienne à énoncer des contre-vérités juridiques énormes, ça c'est plus ennuyeux. BDS n'est pas du tout interdit en France, ce sont simplement certains de ses partisans qui avaient été condamnés à la suite d'une action menée dans un hypermarché, la condamnation avait été fondée sur la problématique de la discrimination. Mais en aucun cas un quidam dans la rue qui se déclare sympathisant du BDS ne va se retrouver menotté et embarqué au poste. Donc là, Waters en fait beaucoup trop et se fourvoie juridiquement parlant.

Deuxième souci: je ne vois strictement aucun rapport entre 1789 et aujourd'hui, entre la Révolution Française et la position des autorités françaises sur le conflit au Moyen-Orient. Qu'est-ce que c'est que ces raccourcis historiques mon p'tit Roger, hein? Il n'y a rien de bien construit là-dedans, on est même à la limite du populisme de bas étage.

Mais le plus grave dans tout ça, c'est qu'à l'issue de ce discours sans queue ni (surtout) tête, les 14.000 spectateurs font un grand "OUUUAAAAAIIIISSSS", sans réfléchir plus que ça. Ah ben voilà pourquoi Waters n'a pas joué "Sheep", il en 14.000 sous le nez, pas besoin d'en rajouter! Cette scène complètement surréaliste m'a rappelé qu'en 1979, le bassiste d'un groupe de rock anglais avait imaginé une oeuvre tournant (notamment) autour de la manipulation des foules par un leader mégalomane... Mais je dois avoir l'esprit mal tourné...

C'est sur ce sentiment de malaise profond que Waters entonne un "Mother" en roue libre, avant le final traditionnel sur "Comfortably numb", avec bien sûr un solo de Kilminster (trop?) au millipoil et bien sûr des couleurs immondes sur les écrans. Des confettis avec "RESIST" inscrits dessus tombent du plafond. Tout le monde est content, youkaidi youkaida, et le concert se termine ainsi.


Sur tout le trajet du retour, j'étais quand même bien embêté. Est-ce qu'en vieillissant, je me rendrais compte que mes "idoles de jeunesse" sont beaucoup moins intéressantes que ce que j'imaginais? Où sont-ce ces mêmes idoles, vieillissantes, qui commencent à se prendre pour ce qu'elles ne sont pas? La mégalomanie a toujours peu ou prou fait partie de l'oeuvre de Waters, et sur le spectacle The Wall elle ne m'avait aucunement dérangé car faisant partie intégrante de l'histoire. Mais là, c'est beaucoup plus problématique. On a désormais l'impression que Waters ne fait plus de la musique que pour véhiculer un message politique. Sauf que cela le met en porte-à-faux sur beaucoup de points (les masques de cochons avec le champagne, franchement fallait oser...), voire l'amène à balancer des contre-vérités, ou en tout cas des points très largement discutables.

Alors oui bien sûr, le show est démesuré, il y a un gros cochon qui vole, y'a des lasers, y'a une usine qui nous fait coucou, c'est parfait musicalement, le son était fantastique (oui oui, alors qu'on était dans la Halle Tony Garnier, comme quoi hein, quand on sait y faire...), mais si c'est pour s'entendre asséner pendant plus de deux heures que la guerre c'est mal, que Trump est un porc, que la situation des réfugiés est dramatique et que le conflit israélo-palestinien c'est vachement compliqué, ben autant rester devant sa télé et économiser 100 €. Roger, si tu veux, lance-toi en politique, y'a pas de souci, mais quand tu fais de la musique, concentre-toi surtout sur cette dernière et pas sur le message que tu veux véhiculer, je pense que tout le monde a à y gagner!

Setlist:
Breathe (in the air)
One of these days
Time / Breathe (reprise)
The great gig in the sky
Welcome to the machine
Déjà vu
The last refugee
Picture that
Wish you were here
The happiest days of our lives
Another brick in the wall (Part 2)
Another brick in the wall (Part 3)

Dogs
Pigs (Three different ones)
Money
Us and them
Smell the roses
Brain damage
Eclipse

Rappel:
Mother
Comfortably numb

Nick Mason' Saucerful Of Secrets: la tournée européenne

Visiblement le concert de rôdage a convaincu tout le onde: Nick Mason et ses acolytes seront sur les routes européennes cet automne, avec une date française le 10 septembre. Mise en vente des places le 31 mai à 10h.

Les dates sont à découvrir ici.

samedi 26 mai 2018

La pépite du jour: Leonard Cohen - "Hallelujah"

Juste pour le plaisir de ce morceau, qui est d'ailleurs curieusement plus connu grâce à la reprise qu'en avait faite Jeff Buckley, et parce que c'est le premier mot qui m'est venu à l'esprit lorsque j'ai constaté qu'Internet avait refait surface chez moi!

Donc de nouveau à partir de demain des infos, des chansons, des compte-rendus... Si Orange ne me fait pas de nouvelles frayeurs bien sûr!


Paroles & musique: Leonard Cohen.
Production: John Lissauer.

jeudi 24 mai 2018

La nouveauté du jour: Johnny Marr - "Hi hello"

En prévision d'un nouvel album solo, le guitariste et compositeur des Smiths revient avec ce single bougrement efficace. Notez la référence à "There is a light that never goes out" avec le gimmick de violon !


Et pour internet, quelque chose me dit que c'est pas encore gagné cette affaire...

lundi 21 mai 2018

Nick Mason's saucerful of secrets: la setlist

Il avait annoncé du vieux Floyd, et il a tenu parole: aucun morceau post-1972 ! Setlist ici et un extrait de "Bike" .

Et nouvelle date pour le rétablissement d'internet: jeudi midi. On y croit, on y croit!

vendredi 18 mai 2018

The Rolling Stones: première date de la tournée

C'était hier à Dublin, et à deux exceptions près ("The worst" et "Neighbours", pas des grands titres non plus), on est dans le classique !


jeudi 17 mai 2018

Les joies d'internet...

Alors, non seulement orange n'a toujours pas résolu le problème de fibre qui touche tout le quartier, mais en plus maintenant ils ne donnent plus de date indicative de remise en route ! Donc pas de reprise quotidienne du blog samedi comme prévu... Je vais essayer de poster ponctuellement comme cette semaine, mais je ne promets rien amis lecteurs...

vendredi 11 mai 2018

Le blog a des ratés...

Ne perdons pas espoir! L'accès à Internet devrait être rétabli d'ici mardi après-midi, mais en parallèle je serai en vadrouille la semaine prochaine, donc n'ayant accès que par intermittence à un ordinateur... Patience, ô fidèles lecteurs qui vous rongez les ongles jusqu'au sang depuis quelques jours en vous demandant quand le blog reprendra son cours! Si tout se passe bien, le rythme quotidien des publications devrait donc reprendre à compter du samedi 19 mai, et je devrais même pouvoir poster quelques nouvelles la semaine prochaine. Je reviendrais notamment sur le concert de Roger Waters mercredi soir à Lyon qui m'a laissé une drôle d'impression... Le sentiment d'avoir assisté à The Wall, mais au premier degré...

mardi 8 mai 2018

Pause technique du blog...

Avoir un problème d'accès à Internet au milieu de tous ces ponts, c'est pas de bol quand même ! Petite pause donc du blog le temps de démêler les petits noeuds des petits fils... Retour espéré jeudi ! Et peut-être croiserais-je certains d'entre vous au concert de Roger Waters demain soir à Lyon...

lundi 7 mai 2018

Elton John: les premières dates de la tournée d'adieux

Beaucoup de dates mises en ligne sur le site de Sir Reginald Dwight, plus connu sous le nom d'Elton John. On notera que, pour l'instant, aucune date française n'est annoncée, et que la tournée européenne débutera le 1er mai à Vienne (Autriche). Le gros trou du mois de juillet laisse à penser que les dates françaises (et espagnoles!) se dérouleront dans le cadre de festivals. D'ailleurs, Elton John est déjà annoncé pour deux dates fin juin à Montreux. A suivre...

Dates à découvrir ici.

dimanche 6 mai 2018

Ray Davies: nouvel album en vue

Après le très réussi Americana de l'an dernier, Ray Davies revient déjà avec Our Country - Americana Act II, autant dire donc la suite de cet excellent album.

Un reportage sur la confection de l'album ici et un premier extrait audio ci-dessous:


samedi 5 mai 2018

La nouveauté du jour: Alice In Chains - "The one you know"

Retour de ce groupe revenu de très très loin... Qui aurait pensé qu'il survivrait au décès de son brillant mais torturé leader Layne Staley? Et pourtant, les membres du quatuor continuent vaille que vaille, et en plus ils continuent en publiant des morceaux de qualité. Dès les premières secondes de ce "The one you know", on retrouve ce son de guitares sales et bizarrement accordées, et les deux voix entremêlées. Autre signature du groupe: des couplets bien dark et un refrain franchement mélodique. Bref, un retour qui fait du bien - cinq ans se sont écoulés depuis l'album précédent - et le nouvel opus ne devrait donc pas tarder!


vendredi 4 mai 2018

La nouveauté du jour: King Tuff - "The other"

Attention, petite tuerie. Le dénommé King Tuff vient de sortir son nouvel album, The Other, et c'est plus que pas mal. Album très varié, sans pour autant être complètement incohérent, plein de chouettes mélodies... C'est du très bon boulot. Pour exemple, voici le morceau qui ouvre l'album et qui lui donne son titre. On dirait du Eels à son sommet, c'est dire la qualité.


Et tout l'album est , mais c'est encore mieux de l'acheter n'est-ce pas ;-)

jeudi 3 mai 2018

Suede: nouvel album en vue

Il s'appellera The Blue Hour et sortira le 21 septembre prochain. Le premier trailer est ici et la track-list sera la suivante:

As one
Wastelands
Mistress
Beyond the outskirts
Chalk circles
Cold hands
Life is golden
Roadkill
Tides
Don't be afraid if nobody loves you
Dear bird
All the wild places
The invisibles
Flytipping

mercredi 2 mai 2018

La nouveauté du jour: Beach House - "Dive"

Retour de ce groupe planant sans jamais être ennuyeux, qui va publier son nouvel album, 7, le 11 mai prochain. Quelques morceaux ont déjà été mis en ligne, dont cet excellent "Dive", qui voit le groupe s'orienter vers l'électrique à la My Bloody Valentine (à partir de 2'28), et ce n'est pas pour nous déplaire!


mardi 1 mai 2018

La nouveauté du jour: Miles Kane - "Loaded"

Bientôt un troisième album solo (Coup De Grâce) pour Miles Kanes, dont voici le premier extrait, "Loaded", co-écrit avec Jamie T et Lana Del Rey.