lundi 30 octobre 2023

Neil Young : nouvel album

Ce sera pour décembre, et ce sera un faux nouvel album car Before And After sera constitué d'une seule piste de 48 minutes, piste en réalité constituée de 11 titres acoustiques piochés dans la discographie du Loner. Un premier extrait est disponible ici.

vendredi 27 octobre 2023

Green Day: nouveau single, nouvel album

Le 19 janvier prochain paraîtra Saviors, le nouvel album de Green Day. Un premier single, "The american dream is killing me", est audible ici.

jeudi 26 octobre 2023

Hellfest 2024: premiers noms

Foo Fighters, The Offspring, Queens Of The Stone Age, Megadeth, Royal Blood, Bruce Dickinson, Dropkick Murphys... Ils seront tous à Clisson l'été prochain. Trailer à voir ici.

mercredi 25 octobre 2023

La pépite du jour: The Kinks - "State of confusion"

1983: les Kinks, complètement délaissés par leur patrie d'origine, ont conquis les States à grand renfort de rock de stade bourrin mais efficace. Exemple avec le morceau qui donne son titre à l'album du moment, et qui aurait pu être du Springsteen (c'est assez flagrant sur le refrain où on a une furieuse envie de chanter "Because the night"...), à écouter ici.

mardi 24 octobre 2023

lundi 23 octobre 2023

vendredi 20 octobre 2023

La nouveauté du jour : Peter Garrett - "The true North"

Parution au mois de mars prochain du deuxième album solo du chanteur de Midnight Oil, intitulé The True North, et le morceau qui donne son titre à l'album est déjà audible ici.

jeudi 19 octobre 2023

Peter Gabriel: enfin une date pour le nouvel album

Ca y est, c'est officiel: c'est le 1er décembre prochain que sortira I/O, le nouvel album de Peter Gabriel dont de très très larges extraits ont déjà été mis en ligne. Deux mixes de l'album seront disponibles. Toutes les formats disponibles de l'album sont à découvrir ici.

mercredi 18 octobre 2023

Liam Gallagher : une tournée pour les 30 ans de "Definitely Maybe"

Pour l'instant, ce sont uniquement des dates outre-Manche (Royaume-Uni et Irlande) pour le mois de juin 2024 qui sont annoncées ici. Au programme, l'intégralité de cet album désormais mythique, plus des faces B datant de la même époque. Peut-être y aura-t-il des dates en Europe en juillet, à suivre...

lundi 16 octobre 2023

La nouveauté du jour : The Libertines - "Run run run"

Nouveau titre du groupe de Carl Bârat et Peter Doherty, à écouter ici. Et un nouvel album annoncé pour le 8 mars 2024.

jeudi 12 octobre 2023

Rammstein en concert

Le groupe allemand n'arrête plus de tourner dans les stades européens, et notamment français, pusqu'il passera le 8 juin à l'Orange Vélodrome de Marseille et le 15 juin au Groupama Stadium de Lyon - il y était déjà passé en 2022. Mise en vente des places le 18 octobre prochain.

mardi 10 octobre 2023

La nouveauté du jour : The Coral - "Wild bird"

Extrait de l'excellent - et assez country - Sea Of Mirrors sorti ces jours-ci, un "oiseau sauvage" à écouter ici

lundi 9 octobre 2023

La chronique du jour: Roger Waters - The Dark Side Of The Moon Redux



Voici donc cette fameuse relecture de The Dark Side Of The Moon par Roger Waters, qui était, faut-il le rappeler, l'unique parolier et le compositeur d'environ 50% de la musique de cet album. Waters a fait les gros titres ces derniers temps avec des sorties plus ou moins contrôlées sur la situation géopolitique actuelle du monde, mais il n'en sera pas question ici, on ne parlera que de musique pour ne pas tout mélanger.

On commence donc par "Speak to me", et là déjà premier changement: plus d'hélicos, de rires sardoniques... Waters nous récite les paroles de "Free four", morceau de sa composition qui figure sur Obscured By Clouds. Choix pas aberrant car la mort, thème récurrent de The Dark Side Of The Moon, est fortement évoquée dans ce texte. Soit, on valide.

"Breathe" suit, et là les problèmes commencent. Que Waters murmure plus qu'il ne chante, en soi, c'est pas un problème. Par contre, le son de batterie de Joey Waronker est horrible, faisant penser à une machine à laver des années 80 en fin de vie. Choix incompréhensible, d'autant plus que Waronker, quand il officiait avec notamment R.E.M., n'avait pas du tout ce son là. La batterie étant en plus mixée très en avant, ça gâche quand même pas mal le spectre sonore du titre.

"On the run": là, ça commence à déconner sévère. Waters, de sa voix sépulcrale, récite un texte dont on perd très rapidement le fil. On entend très vaguement en fond sonore le thème de "On the run", mais avec un son évoquant un Jean-Michel Jarre qui se serait endormi sur ses claviers. C'est vraiment pas beau du tout, en plus même pas d'explosion à la fin pour faire la transition avec "Time", où va le monde je vous jure.

"Time" se retrouve donc dépouillée jusqu'à l'os. Une fois que Waters a fini de réciter son texte - on préférait encore l'agression sonore des pendules de l'originale -, la chanson démarre, et là, faut avouer, c'est pas inintéressant du tout. Les envolées de cordes, de nappes de synthé - et d'un theremin - "remplacent" de manière cohérente la guitare Gilmourienne, et ça met en lumière la très jolie mélodie de ce titre. Seul problème: toujours cette satanée batterie. Mais pourquoi donc avoir choisi un tel son? Ca dénote complètement par rapport au reste de l'instrumentation, et il aurait fallu à l'évidence un son sec, "à la Mason" en fait, pour lier le tout. Ici, ça ne le fait clairement pas.

"The great gig in the sky" se transforme en "The great boring in the sky". On peut parfaitement ne pas accrocher aux vocalises de Clare Torry présentes sur la version originale, mais là, cette version redux est une véritable tannée auditive. Waters nous récite de nouveau un texte difficilement bitable, pas du tout en rythme - donc pas du tout comme Leonard Cohen pouvait le faire sur ses derniers disques - sur une version aseptisée du titre d'origine, avec de vagues choeurs moulinés à l'auto-tune et à la cabine Leslie. Ecrivons-le: c'est chiant à mourir.

"Money", premier extrait de l'album dévoilé il y a quelques semaines, est toujours très loin d'être convaincante. On aurait aimé une version franchement bluesy à l'instar de celle jouée par Waters pour le documentaire de la série des "Classic albums" consacré à The Dark Side Of The Moon. Là, c'est plus une version "jazz sous Lexomil" à laquelle on a droit, et on commence sérieusement à piquer du nez. Et ce n'est pas le énième texte débité par Waters à la place du solo de guitare qui sauve l'affaire, bien au contraire...

"Us and them": premières secondes: la batterie maudite. Argh. Waters se donne cette fois la peine de chanter, mais la décision de faire un refrain mou du genou, sans les grandes envolées lyriques, est un pari risqué. La mélodie est toujours aussi belle, mais il manque quand même quelque chose. Par contre le solo de saxo remplacé par des plans de guitare acoustique mâtinés d'orgue hammond, franchement, c'était pas indispensable.

"Any colour you like": ah, ça y est, on touche le fond. 128ème récitation d'outre-tombe de Waters, qui nous parle des drapeaux de toutes les couleurs, pour finir par nous dire que le drapeau le plus important c'est le drapeau arc-en-ciel. Merci de fermer la porte ouverte que vous venez de défoncer, M. Waters! Franchement, quel contraste avec la finesse d'écriture qui était la sienne au moment d'écrire les textes de la version originale de cet album... Et puis alors musicalement, une vraie purge, alors que ce morceau était sublimé dans les versions live de 73-74. On entend une volonté de faire sonner ce morceau comme un extrait du Melody Nelson de Gainsbourg, notamment avec cette basse mise en avant, mais c'est un flop monumental.

"Brain damage / Eclipse": morceaux ralentis par rapport aux originaux, mais Waters fait là aussi l'effort de chanter pour de bon. Arrangements de cordes intéressants. On va dire que ça passe.

Bilan des courses: l'intérêt de cette relecture apparaît extrêmement limité, pour ne pas dire nul. On ne sait pas trop ce qui a pu motiver Waters pour produire ce disque, car tout fan de Pink Floyd sait combien The Dark Side Of The Moon lui doit, mais sait aussi qu'il n'était pas tout seul dans la création de cette oeuvre. Ce "redux" vient le confirmer, car finalement, l'auditeur n'a qu'une envie: écouter à fond la version originale. Et on se doute que ce n'était pas vraiment la volonté de Waters d'aboutir à ce résultat!...

vendredi 6 octobre 2023

La nouveauté du jour : Bruce Springsteen - "Addicted to romance"

Joli nouveau morceau de Springsteen, en duo avec son épouse, et qui fait office de BO du film "She came to me". À écouter ici

lundi 2 octobre 2023

La nouveauté du jour : U2 - "Atomic city"

Nouveau morceau de U2 présenté en marge de la résidence du groupe à Las Vegas. Debbie Harry est citée dans les crédits, et heureusement, car le refrain est très très fortement inspiré du "Call me" de Blondie. À écouter ici